6.09 Ab AeternoWe're in Hell!The cork is this island
and it's the only thing keeping the darkness were it belongs Tenerife 1867, Richard et le black rock nous racontent leur arrivée sur l'île et la découverte des mystérieux de ses occupants : l'homme en noir et l'homme en blanc... Mon avis :Ohhhh un vrai épisode, sans effet de style réalité-n'importe-nawak, sans trucs inutiles et rabâchés et même pleins d'éléments nouveaux : ça fait du bien!
Et cette semaine ce sont les fans de Richard qui seront content-es puisque l'épisode lui est tout entier consacré! Pour les autres dont je suis, ben comme c'était tout nouveau et tout utile, ben j'ai bien aimé, même si sur le fond, ça prend une direction qui ne me plaira peut-être pas, lol le
"he has a plan" est un indice XD
Don Ricardus s'appelle Ricardo et n'est pas "aussi" vieux que ça puisqu'il a "atterri" sur l'île en 1867 et il est espagnol. Et oui il était bien enchainé à fond de cale du Black Rock, un "criminel" vendu par le père de la prison dans laquelle il était (mais
everyone is corruptible comme nous le verrons par la suite !)
Bon j'avoue que j'ai ri quand même en voyant que c'était le black rock, tout en bois, qui casse la méga-géante statue à tête de crocodile toute en pierre, mais bon, passons...
1867, le balck rock, navire anglais attaché à Portsmouth et appartenant à Magnus Hanso prend la mer avec une cargaison de criminels espagnols "achetés".
Le navire, appelé par Jacob s'écrase sur l'île et Magnus Hanso meurt dans la manœuvre.
L"homme en noir qui avoue à Richard être aussi la fumée noire vient et tue les survivants, tous sauf Richard, enchainé.
L'homme en noir
(en fait il a que la chemise de noire lol, son pantalon est blanc) dit que Jacob est le diable et que
"the devil betrayed me, he took my body, my humanity". Il dit aussi que l'île est l'enfer et qu'ils sont tous morts.
Il file ensuite le poignard qu'on connait à Richard et lui dit de poignarder l'homme en blanc avec, en plein cœur et avant que celui-ci ait pu prononcer un seul mot. Comme Sayid a tenté avec Evil-Locke-pas-en-noir...
Richard échoue et se prend une raclée, découvre qu'il n'est pas si mort que ça, et que si Jacob ne peut ni ressusciter sa femme (nul) ni faire que lui pardonne ses pêché (trop nul), il peut le rendre immortel (cool... peut-être !).
A ce moment là nous avons la version de Jacob qui dit que l'ile n'est pas l'enfer mais la soupape de sureté qui maintient l'enfer où il est, c'est la fameuse métaphore du bouchon et de la carafe de vin...
L'en jeu entre les deux hommes est de prouver que le bien existe, l'homme en noir pense que c'est dans la nature de l'homme de "pêcher" et que
"everyone is corruptible", Jacob pense que pas tout le monde, mais trouve personne pour corroborer sa théorie, il a fait venir pleins de gens, tout le monde a échoué et tout le monde est mort...
On s 'amuse comme on peux, mais quand même, il y a de l'abus là je dis
, pas cool ce jeu où tout le monde meurt...
Jacob est une sorte de gardien
(un tire-bouchon XD) et il rappelle à l'homme en noir que s'il est tué, il sera remplacé, l'homme en noir s'en fiche, il veut PARTIR (sortir de l'enfer?) et les tuera tous, voilà, il a prévenu!
Bref, on apprend donc et enfin pleins de trucs sauf que perso ce truc avec l'enfer et, pfff aucun intérêt et la dharma et le magnétisme (l'expédition Hanzo) et les voyages dans le temps, les délires avec les hiéroglyphes, c'est quoi le rapport?
Et sinon "trop miignon" (sic) l'homme en noir qui s'aime et se détestent s'envoie par messager interposé des cailloux de leur "couleur"... ralàlà ce que l'amour fait faire XD.... z'auraient du faire "brokeback Island" moi je dis...
Enfin l'épisode n'était pas ennuyeux, c'est déjà ça, après je verrai si j'aime le fin mot de l'histoire...
et bon sans les flash-back à la con les épisodes sont vraiment bien mieux, y a pas à dire...
ps-edit : j'ai fait l'impasse sur la love-story un peu culcul de Richard et Isabelle et Super-Hurley qui le pouvoir de voir et parler aux fantômes (c'est nouveau/début, anyway) et sur Jacob qui prend un intermédiaire pour faire comme son alter égo qui de son ôté ne s'est pas gène pour être l'instrument de la corruption, voilà comment tout à commencé... du moins pour et selon Richard...